La vie de Louis

Bon, voici une histoire racontant la vie d’un jeune garçon qui va mourir bientôt. J’ai écrit ceci pour passer le temps et c’est ce que j’ai fait pour le moment. Rien de très travaillé, mais à vous de décidé ce que vous en pensé. Je ne viens pas souvent sur le forum alors je ne sais pas si je vais lire vos commentaires mais je ferai un effort pour vous. Merci à l’avance !




Salut. Moi c’est Louis. Toi, j’ai aucune idée comment tu te nomme et je le saurai probablement jamais d’ailleurs. Je vais mourir bientôt. On ma jamais dit pourquoi. Je suis peut être trop jeune pour comprendre. C’est ce qu’on me dit tout le temps. Pourtant, je sais bien des choses. Je sais ce que c’est la mort. C’est quand on s’endort pour toujours. On par en paix et on nous enfouis sous terre pour pas que le bruit des voitures nous dérange. Plus de voisins dérangeant, plus de chicane avec eux aussi. Plusieurs personnes dans ma famille sont mortes avant moi. On dit que j’ai une maladie héréditaire. Je sais aussi que cela veut dire que plusieurs autres membres de ma famille on déjà été dans le même état que moi auparavant. J’ai eu une belle vie vous savez. « Un vrai enfant gâté », c’est ce que disait ma grand-mère. Elle était si gentille. Celle qui n’était pas morte de la maladie que j’ai… je me souviens très peu de ma très jeune enfance. Comme la majorité des gens. Je n’ai que des fragments de mémoire. Dans le temps ou tout était si simple. Je n’avais pas de problème de santé. Aucuns médicaments à prendre, ni transfusion de sang à faire chaque semaine. Personne ne se chicanait autour de moi à cause de la pression que j’occasionnais et du stress que je créais dans mon entourage. Je suis devenu un fardeau avec le temps. Ou plutôt, je suis resté un fardeau depuis que je suis née. Ils ont beau me dire que ce n’est pas ma faute. Je les entends très bien parler de moi. On dirait qu’ils ne prennent pas conscience que j’ai des oreilles. Ils savent que j’existe…mais j’ai plus l’air d’un animal de compagnie que d’un membre familiale. Malgré tout je ne regrette pas la vie que j’ai eue. Je me souviens ma première journée d’école. J’avais 5 ans. J’étais très content de pouvoir y aller car tous mes amis qui habitaient les maisons qui entourent la ruelle devaient y aller à la prochaine rentrée. Ma mère refusait de m’inscrire vu la progression rapide du virus. Mon père l’avait convaincu de me laissé y aller. Il disait que m’envoyer avec les autres à l’école serait plus avantageux que de devoir payer une gardienne pendant encore une autre année et que cela leur économiserais de l’argent. C’était sa seule raison de m’envoyer à l’école. C’était plutôt méchant de sa part, mais tout ce qui comptait c’est que j’allais suivre mes amis et cela surpassait grandement mes autres malheurs. Bon je dois vous laissé, je ne me sens pas bien. L’infirmière arrive…


Je me rappel mon premier voyage en voiture. Bien sur, j’avais déjà été quelque part en voiture mais pour la première fois on irait assez loin pour avoir à dormir à l’hôtel. On allait rendre visite à ma tante qui était malade elle aussi. Elle habitait à Chicago. Elle avait une très grande maison située près d’un centre commercial gigantesque. J’étais triste de la rencontrer pour la première fois hors de sa maison. En fait, elle était déjà à l’hôpital depuis un moment car son état était beaucoup plus grave que le mien. Elle m’envoyait toujours un petit quelque chose par la poste à l’occasion de mon anniversaire avec une petite pensée qui m’aidait à y voir plus clair. Je voyais cette pensée comme un message divin si on veut, vu que je ne savais pas vraiment d’où elle venait. Ma mère m’avait laissé choisir les fleurs qu’ont allaient lui apporter pour mettre à son chevet. J’aimais bien les bleues et les rouges. Des couleurs pétillantes, certes, mais personne ne discuta mes goûts. La fierté que cela occasionna me remplis de bonheur, j’avais l’impression de remercier en quelque sorte tout ce quelle m’avait appris et fait réalisé au cours de toute ces années. Elles les aimaient. Je savais bien quelle les avaient à peine vue car ma tante était trop faible pour pouvoir les voir clairement. Maman me l’avais dit dans la voiture avant qu’on arrive. C’était un très gros hôpital, beaucoup plus gros que celui où je suis. Les infirmières accouraient partout à tout moment pour des urgences j’imagine. C’est comme sa aux soins intensif et surtout en phase terminal. Un médecin entra dans la chambre de ma tante et nous demanda de sortir je crois, il parlait en anglais et à cette époque, je n’y comprenais pas grand-chose… C’est la première et la dernière fois que j’ai entendu parler de cette tante la. Maman disait que l’un de ses derniers vœux était de me voir de ses propres yeux et quelle était partie heureuse. Tout sa grâce à moi. J’avais fait du bonheur dans se monde pour une fois au lieu de les énerver avec mes problèmes. Si je pouvais retourner dans le temps, se serais ma destination, j’en suis sur.


Une grande majorité du monde a déjà dit qu’il ou qu’elle ne pouvait pas vivre sans musique. Dans mon cas, je ne crois pas que j’aurais pu vivre aussi longtemps sans en avoir effectivement. La musique apaise tout le corps en quelques secondes et installe un vent de calme dans la tête dès les premières notes jouée ou chantée ou peut importe… Pourvu qu’elles soient entendues. Comme un soulier qui s’adapte à votre pied, la musique est assez diversifiée pour convenir à tous et à chacun. Je suis peut être malade, mais je plains beaucoup plus les sourds que moi. Mon père m’a expliqué que les sourds comprenne la musique et il n’est pas rare qu’ont en vois à l’opéra ou à des pièces théâtrales. Ils ressentent les vibrations et les assimilent aux décors. Il est vrai que le célèbre compositeur Beethoven était bel et bien sourd et qu’il a quand même écrit quelques-unes des plus belles œuvres de l’histoire. Mais malgré tout ceci, je m’estime bien chanceux d’avoir droit à ce privilège que la nature ma donné. J’ai écouté plusieurs styles de musique avant de trouver celui qui me convenait. La musique rock me donnait des frissons dans le dos alors que le rap m’ennuyait à mourir. Le classique est respectable, certes, mais pas assez entrainant à mon goût. Le techno ma tout d’abord charmer avec ses sons à multiples fréquence. Je ne parle pas du techno que l’ont entend dans les discothèques sur les gros boulevards pendant les fins de semaines, mais plutôt du techno qui nous emporte dans un autre monde. Une musique qui viens vous chercher au plus profond de votre âme et vous la sentez percer votre cerveau jusqu’au centre de celui-ci. Je me suis lassé de la musique techno à cause d’un manque de paroles. C’est alors que j’ai trouvé une vieille cassette qui appartenait à mon père, je dirais bien que c’était une nouvelle musique, mais elle était nouvelle seulement à mes oreilles. Les « Oldies » sont devenu les charmes de mon ouïe si je peux dire. Les « disco » et les « Old rock » sonnaient vraiment bien à mon oreille. Des paroles douce, de la musique pas trop agressante, l’époque du bonheur. Et de plus, cela me faisait de quoi discuter avec mon père, car à ce moment la, nous n’avions pas grand-chose en commun et donc, peu de chose à se dire. Pas très longtemps après, j’ai demandé un baladeur avec radiocassette. Je pouvais donc emprunter toute les cassettes de mon père et les écouter à n’importe quel moment et/ou endroit. Jai toujours ce radiocassette avec moi. Bien avant mon électrocardiogramme et toute ces machines qui m’entoure et me tienne vivant le plus longtemps possible, c’est bien cet appareil qui me garde dans ce monde. On dit que l’eau est un signe de vie, alors la musique est un signe d’intelligence.


J’ai repensé à quelque chose de bien spécial aujourd’hui. J’ai reçu un paquet cadeau par la poste de quelqu’un, j’ai aucune idée qui, mais je sais que cette personne me connais bien car cette surprise est l’une des choses que j’adore depuis ma tendre enfance. Une simple bande dessinée. Maman et papa ont une idée de qui a bien pu m’envoyer ce présent car ils ont eux un sourire en coin en me voyant ouvrir l’emballage avec impatience. J’imagine que si ils n’avaient pas su d’où il venait, ils ne m’auraient pas permis de l’ouvrir avant d’avoir pu savoir ce qu’il contenait… comme si une bombe avait pu se cacher à l’intérieur. C’était une série de bande dessinée que je ne connaissais pas alors. Avec des héros qui sauve le monde avec leurs pouvoirs surhumains. Un abonnement à cette série était joint au paquet. La personne qui m’avait envoyé ceci devait bien connaître mes goûts pour prendre le risque de m’offrir quelque chose que je n’aimerais peut-être pas au fond. Peut importe, j’adorais cette série. Une véritable guilde de super héro menait l’histoire. Que se sois des personnages invisibles, d’autres qui volent, des hommes-poissons et tout ce que vous pouvez imaginer. Je recevais un nouvel album une fois par semaine et je l’attendais comme un pauvre attend sa paye le jeudi de la semaine où elle arrive. Je fis bénéficier mes exemplaires à d’autres jeunes comme moi en leur prêtant mes vieux numéros jusqu'à ce qu’ils me rattrapent eux-mêmes. Mes nouveaux contacts à l’hôpital devenaient mes nouveaux amis. Je retrouvais quelques choses qui me manquaient depuis que j’avais dû quitter l’école. L’amitié est la plus belle des choses à laquelle j’ai goûté dans la vie. Cette bande dessinée m’aura montré le courage, la force de vivre et que dans le monde, il y a des sortes de héro un peu partout et même si ils n’ont pas de super pouvoirs, ils le sont quand même et nous pouvons tous être un héro à notre manière. Mais la règle la plus importante quelle ma apprise n’était pas écrite à l’intérieur, il a fallu que je l’apprenne par moi-même. Ne perdez pas vos amis, ce sont eux qui représentent votre vie.


Aujourd’hui je vais subir une opération. Son but n’est pas de me sauvé la vie mais de la prolonger un peu. J’ai peur. Même si ma mère me dit que tout va bien aller et que les professionnels sont compétant dans l’hôpital, c’est tout de même dans mon corps qu’ils vont aller jouer… Je ne sais pas où je dois me faire opérer et à vrai dire, cela m’importe peu… Pour autant que sa finisse le plus vite possible. Ce qui me fait si peur c que je dois rester conscient pendant l’opération. Je se serai geler autour de la surface bien sur mais je les sentirai entré en moi. Juste à y pensé, j’en ai des frissons dans le dos. Ma mère a beau faire comme si elle ce ne la dérange pas, je la vois bien trembler dans son coin et sortir pleurer quand elle dit quelle va se chercher un café…si elle avait vraiment bu un café à chaque fois, elle serait bien capable d’aller courir un ou deux marathons pour donner des fonds à ma cause ! On dit que lorsque l’ont meurt, ont peut voir une lumière intense au bout d’un tunnel, moi je vais la voir cette lumière, bientôt, mais c’est la vie qui m’attend au bout. Du moins, un soupçon de plus. Mon voisin d’en face a déjà subis plusieurs opérations, mais lui il est sur le point de guérir. Il dit qu’il n’a jamais eu besoin d’être réveillé pendant l’intervention et ceci me frustre. Quelle injustice ! Non seulement lui il n’aura pas à souffrir comme moi mais en plus il guérira. À quoi bon s’apitoyer sur mon sort. Le destin en a décidé ainsi. Le destin…quelque chose en quoi on croit seulement vers la fin. Des personnes qui nous entourent eux n’ont pas de problème de santé, ni d’argent, de famille ou toute autre sorte de problème. Pourtant ce sont eux qui consomment de la drogue, se torture, se blesse pour leur bien… Moi je vais mourir, et eux ils ont encore toute la vie devant eux. Je ne suis personne pour les jugés, mais dans mon bon sens à moi, je ne peux les comprendre. Maman dit qu’ils sont imbéciles, je n’en crois rien. Papa croit que leur place est à l’hôpital psychiatrique, mais jamais je ne souhaiterais à quelqu’un d’un jour devoir aller à l’hôpital, peu importe sa spécialisation. Pour moi, la maladie sera toujours la plus grande des leçons. La peur m’attend, elle m’atteint déjà mais se n’est rien à côté de ce qui m’attend au bloc opératoire. Je dois me reposer en vu de l’intervention tantôt, elle durera plus de 3h alors je ne dois pas dormir pendant ce temps. Je vous laisse en vous disant de faire attention à vous. Pensez à la chance que vous avez pendant que moi je me fais soigné. La pitié que vous pouvez avoir pour moi ne changera rien, mais la leçon que vous pouvez tirer de tout ceci sera le plus beau des compliments que vous pourrez me faire.

Je voudrais une belle fin, l'histoire n'évolue pas du tout et c'est ce qui fait que l'on s'ennuis en lisant le texte.

Mise à part les erruers de logiques, les fautes d'orthographes et la nulité de la syntaxte, le texte ressemble à une ode à la pitié envers ceux qui souffrent. Peut-être n'en est-il point l'objectif principal, il reste tout de même qu'en lisant ce brouillons on ne peu s'empêcher d'avoir envi d'achever Louis.

Et la morale de l'histoire mal camouflé à la toute fin reste la preuve que l'auteur n'a pas franchi toute les étapes qu'il aura à franchir avant de devenir adulte.

Sans rancune.
Argoth

+1 pour Argoth.

C'est extrêmement chaotique et ça a l'air fait sur le pouce à mesure que des idées te venaient. C'est simple, trop simple, aucun deuxième degré, c'est à se demander s'il y en a un premier. J'ai bien l'impression que le lecteur réfléchira plus en raccordant les bouts manquants à l'histoire que l'auteur n'a réfléchit en écrivant cette même histoire. Certains passages sont évidemment pires que d'autres, surtout lorsqu'il faut relire une phrase trois fois avant de comprendre qu'il n'y a rien à comprendre.

Oh, pourquoi nous sommes les seuls à avoir fait une mauvaise critique sur le non-sens de ton texte? Eh bien peut-être parce que les autres caves sont simplement habitués à ne rien comprendre à un texte et à le lire simplement pour le terminer, sans reprendre les passages qu'ils n'ont pas comprit.

Je donne une étoile pour le passage dans l'hopital au deuxième paragraphe et une pour la fausse-fin, ces deux passages sont les pires de par leur présentation ridicule qui démontre l'absence de savoir faire de l'auteur.


Mais bon, parce que tu as ton âge, on va représenter ça en disant que tu es égale à toi-même et tu as quand même le mérite d'écrire, contrairement à trop de jeunes.

Bonne continuation, Louis.

non...ya rien a comprendre...je prend bien vos critiques car elles sont toute bonne à prendre...par contre MC je te demanderais de garder un certain respect pour mes amis qui sont aller lire le texte avant toi...tu dit qu'on doit garder un certain respect sur ton forum alors je te demande de faire de même, ta bien le droit de dire ce que tu pense de mon texte car c pour sa quil est ici...mais de la a insulter les autres qui ont apprécier...tu te lâche un peu trop lousse...ensuite pour répondre a argoth, je sais peut-être pas exprimer ce que je veut dire comme toi tu le fais...mais ton commentaire disant que jai pas passé à travers tout s'que jai a faire avant de devenir adulte...je le trouve déplacé...je vois pas trop le rapport avec mon texte. Jimagine que tu mexpliquera...a moins que tu dise toi aussi que je suis trop jeune ? sa reste a voir...

Je le trouve un peu trop film américain, mais surtout, c'est ce qui m'dérange le plus : le misérabilisme.

Pour le truc d'adulte, je parlai à l'auteur et non à Fred. Un auteur adulte n'est pas nesséssairement une personne adulte comme une personne adulte n'est surment pas un auteur adulte.

D'autant plus que Fred est loin d'avoir l'esprit adulte... d'où le fait que je ne comprenne pas le sens de ta défence, Argoth.

le sens de ma défense vient du fait que fred est adulte sur certain point comme toi, moi et même mon chat (pépé pas l'autre) et que comme auteur il ne l'est tout simplement pas.

Tout le monde est intelligent, mais pas tous de la même manière.

Tout comme un chien peut être plus brillant qu'un autre, je ne vois pas le besoin de dire ce genre de choses.

J'me demande c'est quoi être adulte, je sais déjà que c'est le passage entre la mentalité basé sur les émotions pour aller vers le bon sens des choses...mais les adultes passent leur temps à dire qu'ils étaient bien jeune. Serai-ce donc seulement une période de regret avant l'âge d'or. Je ne vois pas une grande différence entre les adolescents que nous pouvons qualifié d'instruit...j'veut dire par la les jeunes qui parle pas en mettant un "genre" ou un "comme à tout les deux mots en s'exprimant, et les adultes... Mais je reste toujours étonné de voir la sagesse qu'une personne agé peut nous apporter malgré le niveau d'éducation qui est pour la plupart, inférieur à celui des deux générations suivante. C'est dommage, mais parfois j'ai l'impression que c'est seulement quand on sera vieu et retraité qu'on peut profiter de la vie à 100%. Vous allez peut-être me dire que j'me trompe...où peut-être que MC va trouvé que j'ai l'esprit d'un enfant de 5 ans...mais c'est mon impression. Vive les vieux !

On a déjà eu un débat relatif à cela, en tant que coAdmin (fallait que je la sorte à momment donné) je te consseille de faire un nouveau sujet dans débat sur; c'est quoi al plus belle période d'une vie.

Sinon, moi je dit que adolescent on a pas la conscience de profiter de la vie à long terme,
qu'à l'âge adulte on n'a plus le temp de profiter de la vie tout court
et qu'à l'âge d'or on n'a plus le physique.

Pessimiste de ce monde, cela s'adresse à vous, pour ma part j'asseye de réfléchir et de profiter comme il se doit de ce qu'on me donne pour vivre.

Moi, je dis que le plus bel âge, c'est nous-même qui en décidons! Pour ma p'tite vie, faut mettre d'la magie dans tous les instants (mais défois j'oublie...) alors (presque) tous les instants sont fantastiques! Le temps passe tout l'temps (ben oui toi...!) tu peux rien faire pour le ralentir ni l'arrêter ni l'avancer, alors fais de tous tes moments des instants joyeux parce qu'à un moment, on ne sais jamais quand, tu devras partir...

Et voilà pourquoi les concours de wet t-shirt(Peut être remplacer par combat dans la boue ou l'jello si nécessaire) devraient être d'été comme d'hiver...Tsé ont a pas toute notre vie pour profiter de se merveilleux évènement.

Ça sens la tite bête qui n'arrive pas à controler ses bas instincts.

Bas instincts...Non pas vraiment je dirai que la sexualité est un instinct très important mais bon on va pas débattre sur sa ici puisque ont est supposé parler de La vie de Louis.

J'veux pas m'imposer mais qu'est-ce qu'on en a à branler de la vie de Louis, hm? Toutes façons y faut ben qu'y crève sinon sa leçon vaudra un sachet d'pinottes et ça, pour quelqu'un qui s'est "forcé" à écrire presque deux pages de texte, c'est inacceptable.


Bref, sexualité... tes envies sont étranges, pourquoi ne pas les assouvirs? Les Ontariennes ne sont pas à ton goûts? J'sais pas pour toi mais entre un wet t-shirt sur une scène et un wet panty à deux dans une chambre, mon choix est fait si tu vois c'que j'veux dire.


+1 pour Dada.
Nous devrions vivre dans la quête du bonheur, un bonheur sain, un bonheur universel. Si je crois en une raison de mon existence, c'est bien que je suis né pour vivre heureux.

... ça parait mathieux, ça parait que tu le sais...

I knew it.

Suffit, les posts inutiles. Merci.

le 2e degré des choses... tk...

Dadaaaa.. .Dada! Daaaada! daaadaaaaa... Dada! Suis je Daaaadaa ou non?

Je serait un Dada bien mal endimanché.

Mais... il n'My a rien de possible, pas même le suicide.

Tout est possible. Et pour ton deuxième degré, Treille, ne crois pas que je l'ai raté, seulement il faut aussi savoir revenir à ce que j'ai dit à la base, à le relire et à comprendre ce que j'ai voulu dire sans chercher à me rabaisser. C'est beau, tu grandiras un jour... quoi que bien avant Fred.



*rigole*

Je sais pas trop la...tout ce que je vois de MC c'est quand il est couché dans un couloir en train d'agoniser un sot sur le bord de sa bouche, ou quand il se fait dessiner dans le visage, ivre mort. A mais n'oublions pas qu'il connais bien l'histoire de ses jeux vidéos ! Tout un atout quand même...Je sais bien que tu as une dent contre moi...mais je ne sais pas pourquoi. Si c'est ce que je vois de toi qui représente c'est quoi "être grand"...bah sa m'inpressionne pas beaucoup...reste que tu me connais pas assez pour vraiment savoir comment je suis...comme plusieurs autres personnes sur le forum. Je cherche pas à me défendre de quoi que se sois mais je crois que déposer mon texte ici n'était seulement qu'une raison pour toi de t'acharné...continue si sa te chante mais tu t'égard du but du site je crois...

Pour quelqu'un qui ne tente pas de se défendre, mettre en avant mes pires moments était évidemment la solution, hein petit bonhomme? D'autant plus que de répondre à une demi phrase par 6 lignes de plainte, c'est tout sauf se défendre. Le but de Libria est la liberté, et je ne crois pas brimer la tienne en m'exprimant ici ainsi. Je donne mon opinion sur ce que je crois et je ne m'en prive pas, veux-tu savoir ce que je pense de moi ces deux fois? (Dire que je m'y connais en jeu-vidéo était ridicule, beaucoup savent déjà que je sais beaucoup de choses, surtout dans les sujets que j'affectionne.) La fois où je me suis écroulé dans le passage chez Simon, mort au côté de ma chaudière adoré, était sans autre forme de procès ridicule, honteux et sans classe. C'est ça, découvrir ses limites. Concernant la fois où vous m'avez dessinés dans le visage, je me demande bien qui était le plus mature là-dedans, celui qui dormait ou ceux qui se sont amusé dans sa face avec un crayon. D'autre part, je tien à te faire remarquer que tu n'as pas chaumer pour remettre ça encore une fois sur le planché en face de Caro, c'est drôle comme tu n'as rien d'autre à dire sur moi, n'est-ce pas justement ce que tu dénonces? En mon sens, c'est de l'auto-blastage, les autres appellerons ça comme ils voudront. Grandir, c'est aussi faire des erreurs, les voir et les corriger. Depuis que je te connais, tu fais toujours les même, sans arrêt, et tu aimes ça en plus... ça, c'est de l'infantilité perpétuelle mon grand. Retires-en une leçon ou retourne simplement te coucher en n'ayant rien apprit, pour faire changement, tien.

Que voulez-vous, je suis un fasciste avec un coeur d'enfant.